« Sell in may and go away ». Bien que cela ressemble à de la superstition pour moi, l’adage semble vouloir se vérifier cette année : le CAC40 est dans une lente décrue depuis le mois de Mai et accuse une perte de 6,6% après son pic post-élection. Si ce n’est pas une panique boursière, plusieurs nuages s’amoncellent …